Registres municipaux

On trouve ci-dessous des extraits des registres municipaux de 1839 à 1900

25 mai 1838

Lecture de l’article 2 de la loi du 21 mai 1836 sur les chemins municipaux. Considère que les chemins vicinaux de la commune nécessitent quelques réparations, et émet le vœux qu’il sera imposé sur la commune pendant l’année 1839 trois centimes additionnels au principal des contributions foncières personnelles et mobilières et des portes et des fenêtres et des patentes….

13 mai 1839

Le conseil municipal vu les difficultés qui se sont élevées relativement à l’emplacement et à la direction qui doit être donnée au chemin vicinal de Sainte Colombes à Labastide, passant par les Verreries délibère nommer une commission.

2 AOUT 1840

On parle de la construction du chemin de grande communication de St Pons à Carcassonne et le maire demande de dispenser notre commune de participer financièrement à la construction à l’acception de quelques journées de prestation en nature, ce chemin rend la commune tout à fait déserte.

6 SEPTEMBRE 1840(registres municipaux)

M. le maire donne lecture de la lettre envoyée par le conseil de fabrique de l’église demandant un secours de la somme de 1000F pour frais de réparation de l’église et du cimetière.
Les réparations de l’église deviennent urgentes car elle est trop petite pour le nombre de fidèles qui se rassemblent, le chemin qui traverse le cimetière pour aller à l’église aurait du être changé depuis longtemps a cause que le gens avant et après les offices tiennent des conversations comme dans les marches et notamment celle de différents sexes. Non seulement cette terre sainte est profanée par les hommes mais encore par les bêtes féroces qui sautent le mur de clôture viennent souiller les tombeaux ou reposent les cendres de nos pères dont peur être pareil scandale n’est jamais arrivé en France, le cœur des personnes qui ont quelques sentiments d’honneur ne peut que palpiter en se représentant une pareille « atroute ».
La somme sera ainsi repartie 200F sur l’épargne faite 400F en 1841, 400F en 1842, la commune supplie le préfet de faire accorder la somme de 1104F,50 formant l’entière somme demandée et à peine suffisante.

15 mai 1841

Foire de Rieussec. Le commerce et l’agriculture font toujours de nouveaux progrès, la commune de Rieussec ne doit pas rester en arrière dans un bel élan qui de par l’importance de la population, la position et sa belle situation la mettent dans la nécessité d’y établir une foire qui est reconnue indispensable depuis longtemps sans nuire à aucune des foires voisines, attendu qu’elles sont éloignées de plus de trois (miréa) de Rieussec. Une foire établie à Rieussec procurerait de grands avantages à la commune et aux communes voisines soit pour acheter ou vendre leurs denrées ou l’on est obligé, de faire des journées entières de chemin pour vendre leurs denrées ou acheter les provisions nécessaires, ce qui enlève un temps considérable à l’agriculteur.
Considérant que le chef lieu de commune est assez étendu, assez vaste et assez riche en fourrage pour avoir une foire sans porter le moindre préjudice et occasionner la moindre dépense.
La commune possède 5 ou 6 auberges assez grandes un espace très étendu sur la place publique pour contenir toute sorte de marchands. La route de Saint Pons à Narbonne qui le traverse donnerait à cette foire le plus grand avantage. Enfin l’intérêt général se trouverait très avantageux dans cet établissement.… La date serait fixée au 26 Août de chaque années est adoptée par le conseil.

1842

Construction d’une partie de la voûte de l’église qui se lézarde 10 ans après d’où la nécessité pour la consolider de construire le porche à l’avant de celle-ci.

12 novembre 1843

Le pont de Rieussec construit en 1841, a deux arches et qui a été totalement engorgé par l’orage du 18 septembre dernier. Une digue s’est formée et tout le quartier du village le long de la route est maintenant au dessous du courant, avant cette fatale construction nous avions à craindre pour nos champs qui par leur position sont naturellement exposés aux ravages des fortes pluies. Maintenant nous sommes sur le qui vive, le temps est à la pluie, point de repos pour nous ni la nuit ni le jour un ennemi terrible va fondre sur nous, les uns emportent la mule de leur écurie les autres déménagent à la hâte de leur maison, ici on entend des cris plaintifs de bête à laine qu’on fait sortir de force des bergeries pour les placer sur la hauteur, partout des malédictions, des jurements contre l’insigne gaucherie des Messieurs des ponts et chaussées. Le 18 septembre nous a donné un bien terrible réveil surpris au milieu des profondes ténèbres par le bruit épouvantable des eaux qui déviées de leur route ordinaire se brisent contre nos maisons renversant et emportant nos meubles cernés de toute part par un élément dont la furie augmente en proportion des obstacles qu’il rencontre sur son passage force d’abandonner a la rage pas mal de nos troupeaux…Il est demandé la destruction de la ridicule construction.

10 février 1844

Le conseil municipal n’a pas obtenu l’autorisation de détruire le pont et le maire réitère la destruction suite à la suite à la mauvaise construction.

10 novembre 1844

Cabart maire. Il faut que le pont soit enlevé car la sécurité publique se trouve compromise et rendre à l’eau son ancien et libre cours.

10 FEVRIER 1849

  » La commune de Rieussec est extrêmement pauvre, c’est la plus mauvaise à une prés de l’arrondissement de Saint Pons. Sous le rapport de son territoire le plus montagneux et le plus stérile, de plus sujet à des dévastations annuelles par les orages de plusieurs manières, on y vit avec des aliments tels que pommes de terre et autres grossiers, difficilement c’est notoire on y reste soumis à des frais journaliers de poursuites faute de paiement des contributions publiques et certains se sont même laissés saisir et vendre, les registres de la préfecture doivent le prouver , quoi qu’il soit possible sans suspecter personne qu’il ne contienne pas tout, enfin des désordres se sont suscités par la misère, une foret et d’autres communales oui ou non y ont été pillées et dévastées, la première a fond, en cet état de choses, quel est notre devoir, c’est d’améliorer la position de la commune du mieux qu’il nous en sera possible… Le maire nous dit qu’il est impossible de charger la commune d’un centime parce que nous la savons très chargée et dans la dernière détresse cependant la nécessité de deux ouvrages se fait sentir au suprême degré de préférence à tout autre que nous avons à faire, c’est le pont prés de l’église, et un autre prés du moulin de péribis pour franchir le ruisseau de sainte colombe et de Brian.
Vous savez qu’ils sont très importants et dangereux lors des crues même impossibles à passer de quelle manière que ce soit, surtout le dernier le plus souvent dans l’année, ce qui nuit extraordinairement aux intérêts des divers quartiers de la commune.
Le culte en souffre, les affaires de la mairie, le commerce, enfin tout le monde gagnerait beaucoup à cette double construction. Les conseillers qui nous ont précèdes ont reconnu de tous les temps tout cela, nos registres en font foi. Suit un paragraphe sur les fonds attribués qui pour des raisons futiles étaient détournés de leur destination.
La description des deux ponts : « quatre piliers à faire un de chaque coté des rives du ruisseau sous la forme qui apparaît et d’une force suffisante avec bonne maçonnerie de la hauteur d’un double mètre et y placer dessus des poutres devant former une voie d’un seul mètre de largeur ». Il apparaît que ce soit des passerelles puisque dans le même rapport suis « sur le ruisseau plus important de Peribis immédiatement à coté du chemin vicinal sur lequel vraisemblablement la nation fera à l’avenir un pont à charrette en raison de son utilité.  « 

21 JANVIER 1850

La commune prend l’engagement d’acheter un drapeau et d’en acquitter les frais de port et d’emballage.

24 MARS 1850

Le conseil de fabrique de l’église demande par l’intermédiaire du sous préfet qu’il soit effectué au presbytère un certain nombre de réparations dont la dépense en y comprenant la construction d’une écurie pour la somme de 1571,91 F Les conseil regrette qu’un des membres n’ait pas été invité pour dresser ce devis et déclare que plusieurs articles sont d’une indispensable nécessité par contre d’autres peuvent être ajournés sans dangers réels vu la détresse et la pénurie de fonds dans laquelle se trouve la commune. Il s’agit de la démolition et de la reconstruction du mur d’enceinte du jardin, de la construction d’une écurie derrière la sacristie et à coté de l’église. Le portail du jardin et l’enduit de la voûte de l’église ne pourront être pris en charge faute de moyens suffisants.
La couverture doit être refaite en planche et ardoises ainsi que les planchers mais une notable diminution du coût aurait pu être envisagée.
L’écurie sera construite plus des réparations pour la somme de 600F pour les autre de nouveaux devis sont demandés.

30 JUIN 1851

Réparation presbytère, réponse de Monsieur le sous préfet. Monsieur le sous préfet est d’avis de ne point établir de porche au devant de la porte de l’église car la route de l’église à fait un affaissement et a occasionné une lézarde au mur de refend placé au couchant ce qui n’est pas vraisemblable puisqu’elle n’y porte pas du tout dessus, tandis qu’elle porte en partie sur le mur de la porte de l’église qui a fait un surplomb environ de seize cm, duquel surplomb le rédacteur du devis n’a point parlé, la route de l’église a été faite depuis moins de 10 ans par Mr Bourdel père de Saint Pons, la responsabilité de l’ouvrage se trouve à la charge du dit entrepreneur.
De faire l’écurie adossée à l’église ou à la sacristie…

31 août 1851

Délibération sur le mode et la coupe du bois Cazellasse autorisée par le préfet. La vente se fera aux enchères publiques.

16 octobre 1851

Le sous préfet autorise le conseil municipal à se réunir à l’effet de délibérer sur les moyens à prendre au sujet d’acheter ou faire construire une maison d’école et Mairie.

11 janvier 1852

Monsieur le maire à la suite du te deum qui a été chanté à l’église en action de grâce à dieu pour les événements qui viennent d’avoir lieu à donné connaissance au conseil municipal de la commune réunis à la mairie de l’acte administratif de Monsieur le préfet du département de l’Hérault, il a proposé au conseil de voter un fond pour venir en secours des plus indigents de la commune. Le conseil après avoir délibéré a décidé à l’unanimité d’imposer la commune de 50F seulement. Suit la liste des bénéficiaires.

20 février 1853 (registres municipaux)

« Nous avons prononcé le serment en ces termes ; je jure obéissance à la constitution et fidélité à l’empereur, la même formalité a été accomplie par Mr l’adjoint, nous avons reçu le serment de chacun des membres du conseil municipal selon l’ordre du tableau ils ont sérieusement prononcé ces mots, je jure obéissance à la constitution et fidélité à l’empereur ».

20 novembre 1853

Monsieur le Maire de concert avec Monsieur le curé a dressé la liste des enfants susceptibles d’être admis gratuitement à l’école communale.

8 janvier 1854

Monsieur le Maire donne lecture du décret impérial :
du 31 novembre 1853 qui ouvre au département de l’instruction et des cultes au titre de subvention aux communes pour construction et réparation de maison école un crédit extraordinaire (350 000F) qui viendra s’ajouter au chapitre du budget de l’instruction publique.
Du 22 novembre 1853 qui met à la disposition de Mr le ministre de l’intérieur un crédit extraordinaire de 500 000F sur l’exercice 1853 et un autre crédit de 350 000F sur l’exercice 1854 pour être réparti à titre de subvention entre les communes qui exécuterons des travaux d’utilité communale.
Ces décrets ont pour but de procurer du travail à la classe ouvrière et indigente.
Le conseil : considérant que par l’exécution de la construction du bâtiment pour servir de mairie te de logement de l’instituteur, le but de ces mesures est atteint par suite du travail quelle procurera aux indigents, soit pour les terrassements, extraction de pierre, approche de matériaux, chaux sable que cette construction nécessitera.
Considérant que le fait de cette construction d’utilité communale, la commune de Rieussec sera autorisée à bénéficier d’une subvention.
Considérant qu’il y a urgence, nécessité indispensable, besoin réel pour tous de faire construire pour tous un bâtiment non seulement pour faire cesser vis-à-vis de la commune tout ce qu’il y a de pénible et de préjudiciable pour elle lors du changement des archives et de la mairie à chaque nomination de nouveau maire.
Considérant enfin, sous le rapport de l’instruction primaire, cette construction sera en harmonie avec les règlements et de plus une preuve de l’empressement qu’aura mis la commune à répondre à la faveur que le conseil académique lui a accordé en fixant à Rieussec le siège de l’école communale…
Le conseil a délibère que pour procurer du travail aux nécessiteux de la commune et les préserver des désordres auxquels et le manque de travail les entraîne souvent, il sera construit sans retard un bâtiment qui réunira mairie et maison d’école sur un terrain dont la commune fera l’acquisition, mais attendu que cette acquisition de ce terrain et construction de bâtiment vont nécessiter une dépense à laquelle la commune outre la subvention quelle pourra obtenir ne peut parer que pour le produit d’une imposition extraordinaire dont le vote entraînera des formalités indispensables pour les rendre réguliers est d’avis qu’au préalable il soit créé une commission qui demeure chargée :
Faire le choix d’un terrain.
Faire procéder à l’estimation du terrain
Faire faire tous les plans et devis pour le tout être soumis au conseil.

28 Janvier 1854

Vote d’une somme de 3300F pour la construction d’une maison école.
La commission communale a fait le choix du champ dit l’aire appartenant à Léon Cabart pour la construction du bâtiment. La contenance est fixée 17 m de long sur 12 de large.
Le prix du terrain est évalué à 200F.
L’évaluation par la dite commission de la porte à 3100 F la dépense de cette construction, vu le plan qui a été fait par cette commission.
Attendu que la commune n’a aucun fond libre, qu’il est nécessaire de recourir au vote d’une imposition extraordinaire pour faire cette dépense.

13 août 1854

Conseil renforcé, imposition extraordinaire, deuxième convocation. Séance levée par manque de participants.

15 octobre 1854

Vote d’une imposition extraordinaire première convocation. Les membres convoqués ne sont pas en nombre la séance est levée.

9 avril 1855

Nécessité d’installer un garde champêtre. Son traitement 304.2 francs à dater du jour de son installation. Cette nomination est urgente vu des délits sans nombre se commettent journellement au préjudice de la commune.
22 avril 1855
Érection du village des Verreries en commune, de nouvelles limites sont proposées.
Outre l’imposition de 600 Francs il faut trouver la somme de 2700 Francs pour parer à la dépense nécessaire pour la construction de l’école.
Il faudra voter une imposition extraordinaire de 780 Francs pour l’achat des terrains nécessaires à la construction de la route de Carcassonne à Saint Pons.
Il est nécessaire d’établir un pont de bois sur la rivière du Brian au tènement dit du moulin de Péribis.

1 juillet 1855

Une pétition adressée au préfet par Maitre Gos dans l’intérêt de François Fraïsse, Joseph Fraïsse, Pierre Fraïsse, Jean Signourel, pour La Mourrelarie et Louis Roussel tailleur d’habit originaire de la Mourrelarié, mais résidant aujourd’hui à Rieussec, par laquelle ils invoquent l’acte d’inféodation en date du 8 juin 1669, ils auraient l’intention de ce pouvoir en justice contre la commune de Rieussec pour se faire reconnaitre propriétaire au titre singulier du bois de Cazellasse.
1855 Demande d’intervention de la police pour de nombreux délits commis au détriment de la commune.

1856

Autorisation est donnée à la veuve Fraïsse de Poussarou d’établir une auberge au hameau de Sainte Colombe.

1856

Décès de Baccou sous les murs de Sébastopol.

1857

Lettre faisant référence aux inondations.

8 novembre 1858

Transmission du dossier complet de la construction du chemin vicinal N° 12 de Carcassonne à saint Pons.

15 novembre 1858

Transmission des actes définitifs signés par les parties intéressées, pour les terrains nécessaire à la rectification du chemin de moyenne communication N° 47, au passage du col de Rieussec.
Transmission du rôle de la cueillette de la graine de genièvre faite dans les vacants communaux pendant l’année (32Fr).

11 janvier 1859

Liste des auberges de la commune de Rieussec : François Cabart, Signourel Joseph, Pierre Tournier. Vve Fraisse et Granier Jean tous deux à Sainte Colombe.

9 février 1859

Lettre pour demander le soutien pour deux orphelins de Roqueplane, les parents fermiers sont décédés l’année dernière et les cinq enfants sont sans aucun moyens de subsistance ; les trois plus âgés ont été recueillis par des oncles restent les deux plus jeunes abandonnés pour lesquels un placement en hospice.

26 mars 1859

Un secours de 100Fr est adresse au Sieur Sire Joseph, ancien militaire de l’empire. Le sieur est décédé le 4 mars 1857.

15 août 1859

J’ai l’honneur de vous faire connaître que la fête de sa majesté l’empereur a été célébrée dans cette commune avec élan et enthousiasme. La population s’est portée en masse à la grand messe pour assister à la prière pour l’empereur et au TE DEUM d’action de grâce pour les victoires que sa majesté à remporté……

24 octobre 1859

J’ai l’honneur de vous renvoyer ci joint l’autorisation faite à Monsieur De Riols de Fonclare domicilié à Moussan par Mr l’intendant militaire de la deuxième division, relative à la demande d’un cheval du gouvernement. Ce Mr renvoie cette demande, vu que le lieu de la livraison est Grenoble…

30 janvier 1860

Lettre envoyé à Mr le sous préfet pour déclarer les propriétaires de chiens, la taxe 2F pour un chien de garde, 8F pour un chien de luxe.

16 mai 1860

Une inspection des chevaux cédés par l’état aux propriétaires doit avoir lieu dans le département de l’Hérault à partir du 18 mai.

11 juin 1860

Un état des montagnes ou serres à replanter est envoyé au sous préfet. Parmi les bois figurent dans la liste, les bois de Vidal et des fours, la montagne de La Figuière formant quatre mamelons, Montressou, les taillades, le cabanis, les espèces proposées à la plantation, le chêne vert, blanc, le châtaignier, le hêtre cela suivant les terrains.

24 août 1860

Un vol de grain à eu lieu dans un hameau, ce grain a été retrouvé par le garde champêtre et le maire chez le voisin, ce dernier avait une fausse clef du grenier. 5 sacs et demi de pommelle et 12 sacs d’avoine non vanné ainsi que 400 kg de bois sec ont été restitués au propriétaire. Cet individu et le métayer doivent se rendre ce soir à la mairie, Monsieur le procureur impérial, si vous le trouvez à propos, envoyez les gendarmes pour le prendre.

4 avril 1861

Renvoie d’un arrêté pris par Mr le sous préfet concernent la mine de fer située prés du hameau de Cousses. Cette mine a été abandonnée.

16 juillet 1861

Sa majesté Napoléon III ayant promis un secours aux enfants qui seraient nés le jour sus nomme (sieur Rieu Eugène né le 16 mars 1856, jour de la naissance du Sieur impérial.) afin d’aider les parents à les instruire.

28 octobre 1861

J’ai l’honneur de vous informer que mes administrés ont soufferts de graves dommages par suite de l’orage survenu le 21 octobre. Les ruisseaux de Brian, Galinier, Rieussec sont sortis de leur lit à divers endroits, quelques chaussées et des prairies ont été emportées de telle sorte qu’il ne reste que des pierres. Le montant approximatif des travaux s’élève à 20 000F.

GUERRE de 1870 :

  • Calmel Marcelin tué à 25 ans le 10 Aout 1870 et enterré sur le champ de bataille Alsacien de Fraschwiller non loin de Strasbourg.
  • Cabart Francois mort à 24 ans décède le 2 février 1871 au Val de Grace à Paris.

1900

Donation d’un terrain N° 149 section D par Francés Paulin pour la construction d’un lavoir (lavoir du mas)

1938-1939

Construction de l’abreuvoir à ovins sur le cote du pont dans le village. (Aujourd’hui détruit)

Établi par Christian Roussel